Shokuzai no Kyoushitsu: Bad End 01 RAW UNC

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Shokuzai no Kyoushitsu: Bad End 01 RAW UNC

Shokuzai no Kyoushitsu: Bad End 01Titre : Shokuzai no Kyoushitsu: Bad End

Date de sortie : 11 octobre 2002

Adaptation : Visual novel de Ruf

Release : RAW

Production : Digital Works (Vanilla Series)

Studio Animation : Y.O.U.C.

Ressource : MyAnimeList

Résumé – Shokuzai no Kyoushitsu: Bad End 01 RAW UNC

L‘écriture est un outil puissant, quelque chose que Mikimoto ne sait que trop bien. Talentueux et sournois, Mikimoto a tout ce qu’il faut pour devenir un journaliste de premier plan, mais que serait un journaliste sans un bon scandale sur lequel écrire ? En développant son propre journal clandestin personnel, Mikimoto sème soigneusement les graines de la colère et du désir dévergondé chez ses camarades de classe masculins. Tous destinés à une seule personne : la voluptueuse Nanase. Lorsque ses camarades de classe la poursuivent enfin pour la punir de tous ses « péchés », Mikimoto enregistre silencieusement chaque moment dépravé.

À mesure que la notoriété du journal se répand, de plus en plus de filles deviennent la proie des désirs pervers de ceux qui sont influencés par le journal. Même Mikimoto a de plus en plus de mal à résister à ses propres désirs sombres envers une beauté spécifique à la poitrine généreuse, Madoka. Ce maître manipulateur finira-t-il par devenir la proie de ses propres talents d’écrivain ?

Shokuzai no Kyoushitsu: Bad End est un anime hentai déplorable et à éviter absolument. En ce qui concerne l’intringue de base, il s’agit de journaux écrits de telle sorte que cinq filles se font violer par un groupe de garçons, afin de pouvoir déterminer son avenir ? Pour le style artistique, on repassera. Mauvais style de dessin des visages, scènes de sexe Hentai moyennes. Le doublage est correct, les gémissements également. Si l’intention de l’auteur était de mettre en lumière de telles actions dans notre société réelle, alors il a réussi. La réalité a toujours été et sera toujours plus troublante que tout ce que nous pouvons imaginer.