Oujo & Onna Kishi W Dogehin Roshutsu 02 VOSTFR

Le royaume d’Elstein. Une terre florissante et une histoire de plus d’un siècle. Cette grande nation règne sur plus de la moitié du continent. Noble née première princesse du royaume d’Elstein, Elize, aime ses sujets et est aimée en retour. Avec Anna, sa chevalière gardienne et amie d’enfance, les deux menaient une vie heureuse et paisible… Cependant, Elize se montrait inquiète. C’est-à-dire qu’il y avait un décalage entre l’Elize que ses citoyens désiraient et le VRAI moi intérieur d’Elize. Elize est une fille timide et mentalement fragile, avec un sentiment de conscience de soi trop actif et anxieux.

Cet écart entre l’idéal et la réalité, provoque naturellement son stress et lentement mais sûrement, le désir de montrer son véritable intérieur se renforce… Au début, elle se contentait de se promener nue. Mais elle aspire à plus de sensations fortes, plus de stimulation, plus de plaisir. Son désir de plaisirs exhibitionnistes est sans limite et émouvant dans une tempête de dépravation. Sa meilleure amie et le royaume lui-même, est entraînée dans un tourbillon d’autodestruction salace…

Sept nations se retrouvent constamment en confrontation pour s’approprier un même et seul continent. Adoptant la politique de la terre brûlée, l’Empire Dominus assoit lentement sa suprématie, tandis que le Royaume d’Elstein privilégie la défensive sur ses terres, au travers de renforcements magiques jugés inviolables. La première Dame de ce royaume, Elisabeth von Elstein, et la chevalière de l’Ordre de la Rose Écarlate, Angelica von Eustace, forment le pivot principal de leur nation.

Elles assistent leur monarque, et rassurent régulièrement leurs sujets en les laissant jouir d’une relative liberté mondaine. L’archimage de la Cour, Baldur, soutient que la stratégie dissuasive d’Elstein les condamnera tôt ou tard à l’abdication. Pour ce faire, il propose à Elisabeth de bouleverser ses doctrines, en s’adonnant au libertinage. Toutefois, Angelica aurait peut-être bien raison de se méfier de cet excès de crédulité…