Chijoku no Seifuku 02 RAW

0 Views

Chijoku no Seifuku 02 RAW

Chijoku no Seifuku 02Titre : Chijoku no Seifuku

Date de sortie : 17 juin 2016

Adaptation : Visual novel de Bishop

Release : RAW

Production : Bunny Walker (Lune Pictures)

Studio Animation : T-Rex

Ressource : MyAnimeList

Résumé – Chijoku no Seifuku 02 RAW

Le personnage principal, Kenichi Yoshimoto, est employé dans un magasin d’électronique de la ville. Il passe ses journées à installer de petites caméras et à vérifier les images chez lui pour réparer des appareils électriques. Il est ainsi armé des images qu’il a obtenues grâce au voyeurisme Hentai. Kenichi utilise des moyens sournois pour forcer une relation avec la réceptionniste d’un grand magasin, la femme mariée de son voisin. Les cibles de cette ville passeront leurs journées pleines de plaisirs effrayés aux mains de Kenichi.

Le jeune homme toujours excité et coquin Yoshimoto travaille comme électricien dans un hôpital et baise toutes les femmes là-bas. Il a installé des caméras cachées partout et maintenant il peut interroger les filles chaudes sur toute sorte de satisfaction sexuelle. Toyomori Aya est une jolie infirmière aux gros seins et à la chatte mouillée. Il a fait une vidéo alors qu’elle se masturbait. Elle doit être près de ses patients à ce moment-là. Alors, comment peut-elle le cacher ? Seule une baise sauvage et sale avec Yoshimoto l’aidera. Est-ce un viol ou une fille profite-t-elle vraiment de la bite dure et monstrueuse d’un mec effronté ? 

Chijoku no Seifuku, une oeuvre communément utilisée par les médias pervers, semble avoir continué à gagner en popularité. Le chantage et la dépravation sexuelle jouent le rôle principal. En dépit de la clameur d’opprobre des fans de justice sociale attirés par de tels supports. Votre voisin vous manque de respect ? Baisez sa femme. C’est la morale de cette histoire. Mais notre protagoniste décide également de placer des caméras d’espionnage dans l’appartement d’une autre fille pour la faire chanter et la baiser sans raison. Hé bien, en plus d’avoir sa bite mouillée, ça l’est.